Si vous êtes à la recherche d’un voyage mémorable en Asie du Sud-Est et que vous vous demandez que voir au Vietnam et Cambodge, vous êtes au bon endroit. Nos itinéraires combinés au Vietnam et au Cambodge vous guideront à travers une aventure inoubliable, des villes animées aux ruines antiques, des paysages pittoresques aux marchés animés.
Dans cet article, vous découvrirez la façon dont on passe du Vietnam au Cambodge ou vice-versa, des destinations incontournables et des expériences exaltantes au Vietnam et au Cambodge.
Comment passer la frontière entre le Vietnam et Cambodge?
Les frontières entre les deux pays
Si vous souhaitez profitez d’un billet aller-retour vers l’Asie du Sud-Est, à explorer le pays d’Angkor Wat, l’un des plus grands monuments religieux au monde, et découvrir les pays du bouddhisme avec la nature et culture riche, envisagez un voyage combiné entre le Vietnam et le Cambodge.
Le passage entre le Vietnam et Cambodge est aisé grâce à huit postes-frontières internationaux ouverts aux voyageurs munis de passeports ou de visas valides :
- Lệ Thanh (Gia Lai) – Oyadav (Andong Pich-Rattanakiri)
- Bu Prăng (Đắc Nông) – O Raing (Mundulkiri)
- Hoa Lư (Bình Phước) – Trapeang Sre (Snoul-Kratie)
- Xa Mát (Tây Ninh) – Trapeing Phlong (Tbong Khmum)
- Mộc Bài (Tây Ninh) – Bavet (Svay Rieng)
- Tịnh Biên (An Giang) – Phnom Den (Takeo)
- Hà Tiên (Kiên Giang) – Prek Chak (Lork-Kam Pot)
- Vinh Xuong/Kaam Sammor (par voie fluviale)
Le poste frontière principal et le plus fréquenté est Mộc Bài – Bavet, sur la route principale entre Ho Chi Minh-Ville et Phnom Penh, qui le rend particulièrement pratique pour les trajets en bus. Le poste de Vinh Xuong/Kaam Sammor est souvent préféré par les voyageurs indépendants grâce à des services de bateaux rapides.
Les postes-frontières comme Tịnh Bien/Phnom Den, Xa Xia/Prek Chak et Lệ Thanh/O Yadao sont également des options idéales pour les trajets en moto.
Comment passer entre le Vietnam et Cambodge?
Pour voyager du Vietnam au Cambodge sans prendre l’avion, plusieurs itinéraires populaires permettent de traverser la frontière en bus, en bateau, ou même en moto. Voici les options les plus courantes :
De Hô Chi Minh-Ville à Phnom Penh par la frontière de Bavet-Moc Bai
C’est la route la plus directe et la plus couramment empruntée pour se rendre de Hô Chi Minh-Ville à Phnom Penh. La frontière de Bavet-Moc Bai est située à environ 70 km de Hô Chi Minh-Ville.
Des bus directs partent de Hô Chi Minh-Ville et vont jusqu’à Phnom Penh, avec un trajet total de 6-8 heures. Plusieurs compagnies (comme Mekong Express, Giant Ibis, et Sorya) opèrent sur cette ligne.
C’est une solution économique, sans changement, avec un processus de passage de frontière facilité par les compagnies de bus.
De Chau Doc à Phnom Penh en bateau via le Mékong
Chau Doc est une ville du delta du Mékong, proche de la frontière vietnamienne. Cette option permet de remonter le Mékong en bateau jusqu’à Phnom Penh.
Les compagnies comme Hang Chau et Victoria Speedboat proposent des croisières rapides (4-6 heures) sur le Mékong. Vous aurez une belle expérience avec vue sur les paysages fluviaux, plus relaxante que le bus.
De Hô Chi Minh-Ville à Siem Reap en bus via Phnom Penh
Bien qu’il n’y ait pas de bus direct entre Hô Chi Minh-Ville et Siem Reap, les voyageurs passent par Phnom Penh avant de prendre un autre bus vers Siem Reap.
Cette option prend plus de temps, mais les compagnies de bus (comme Giant Ibis) assurent une correspondance fluide. De plus, cette solution est économique et courante pour ceux souhaitant visiter les deux capitales en chemin.
Passage par Ha Tien et Kep (frontière Ha Tien-Prek Chak)
Ha Tien est situé dans le delta du Mékong, et la frontière avec Kep est moins fréquentée.
De Ha Tien, on peut prendre un tuk-tuk ou un taxi pour rejoindre Kep au Cambodge. Une autre option est de passer par Kampot, ville balnéaire et touristique.
Cette option est idéal pour les voyageurs souhaitant découvrir les plages cambodgiennes.
Pour les motos : Frontière de Moc Bai ou de Ha Tien
Les motards peuvent traverser les frontières de Moc Bai ou de Ha Tien, souvent en fournissant un « Carnet de Passage » (nécessaire dans certains cas).
Cette option propose une expérience flexible et immersive, parfaite pour les voyageurs en road trip.
Remarque : Les voyageurs doivent s’assurer qu’ils possèdent un visa cambodgien valide (disponible en ligne pour certains) et être prêts à payer des frais de visa à la frontière (en espèces).
Histoire partagée entre le Vietnam et Cambodge
Le Vietnam et le Cambodge partagent une histoire complexe, marquée par des échanges culturels, des alliances, et des rivalités s’étendant sur plusieurs siècles. Voici un aperçu des moments clés de leur histoire commune :
Influence du royaume de Funan (1er-6e siècle)
Le royaume de Funan, un des premiers États d’Asie du Sud-Est, englobait une grande partie de ce qui est aujourd’hui le sud du Vietnam et le Cambodge. À cette époque, les deux territoires partageaient une culture influencée par le commerce maritime et les échanges avec l’Inde, marquant l’introduction de l’hindouisme et du bouddhisme dans la région.
L’Empire khmer (9e-15e siècle)
L’Empire khmer, qui avait pour capitale Angkor, était l’un des empires les plus puissants d’Asie du Sud-Est, couvrant une grande partie du Cambodge actuel, du Laos, et du sud du Vietnam. Les Khmers ont bâti de magnifiques temples, comme Angkor Wat, et leur influence s’est étendue jusqu’aux régions aujourd’hui vietnamiennes du delta du Mékong.
Progressivement, des populations vietnamiennes ont commencé à migrer vers le sud, et cette région du delta, autrefois sous contrôle khmer, est devenue vietnamienne.
La montée de la dynastie Nguyễn et l’expansion vietnamienne (17e-18e siècles)
La dynastie Nguyễn du Vietnam s’est étendue vers le sud, occupant le delta du Mékong, une région qui faisait historiquement partie du Cambodge. Cette expansion, appelée Nam tiến (littéralement « marche vers le Sud »), a conduit à l’incorporation de cette région au Vietnam, ce qui a créé des tensions entre les deux peuples.
Période coloniale française (1863-1953)
Les Français ont colonisé le Vietnam et le Cambodge au milieu du 19e siècle, en les intégrant dans l’Indochine française. Sous le régime colonial, les deux pays ont été gouvernés comme des protectorats distincts, mais la France a cherché à exploiter leurs ressources et à harmoniser certains aspects de leur administration.
Cette domination coloniale a exacerbé les différences entre le Vietnam et le Cambodge, car la politique française favorisait une élite vietnamienne éduquée dans le Cambodge colonial, provoquant des tensions ethniques.
Guerres et relations sous les Khmers rouges (1970-1979)
Pendant la guerre du Vietnam, le Cambodge est devenu un lieu de refuge pour les Viet Cong. Cette situation a amené les États-Unis à bombarder des zones cambodgiennes proches de la frontière vietnamienne.
En 1975, les Khmers rouges dirigés par Pol Pot ont pris le pouvoir au Cambodge. Leur régime a mené une campagne de terreur, tuant plus de deux millions de Cambodgiens et se montrant agressif envers le Vietnam. En 1978, les Khmers rouges ont mené des incursions meurtrières au Vietnam, tuant de nombreux civils vietnamiens.
En réponse, l’armée vietnamienne a battu le Cambodge en 1978 et renversé le régime des Khmers rouges en 1979, installant un gouvernement pro-vietnamien à Phnom Penh. Du point de vue vietnamien, cette intervention n’est pas considérée comme une invasion mais plutôt comme une libération ou une intervention humanitaire visant à mettre fin au génocide perpétré par les Khmers rouges. Selon les autorités vietnamiennes, l’objectif était de protéger la population cambodgienne des atrocités du régime de Pol Pot et de défendre leur propre territoire contre les attaques des Khmers rouges.
Beaucoup considèrent effectivement que l’intervention vietnamienne a mis fin à l’un des chapitres les plus sombres de l’histoire cambodgienne, leur permettant de se reconstruire après l’horreur du génocide. Cependant, certains Cambodgiens perçoivent encore cette intervention comme une forme d’occupation, en raison de la présence prolongée des troupes vietnamiennes jusqu’en 1989 et de l’installation d’un gouvernement pro-vietnamien.
Au niveau international, cette intervention a suscité des réactions mitigées : les États-Unis et la Chine l’ont dénoncée, tandis que l’Union soviétique et plusieurs pays d’Europe de l’Est ont soutenu le Vietnam. Ce désaccord a aussi eu des répercussions sur la Guerre froide, influençant les alliances régionales.
Aujourd’hui, ce chapitre de l’histoire continue de faire débat, mais il est certain que le Vietnam n’a jamais reconnu cet acte comme une invasion au sens agressif, le présentant plutôt comme une mission de stabilisation et de protection face aux Khmers rouges.
Les accords de paix et la normalisation des relations (1991-1993)
En 1991, les Accords de Paris ont mis fin au conflit au Cambodge, permettant le retrait complet des troupes vietnamiennes. Les Nations Unies ont supervisé la transition, organisant des élections en 1993 pour stabiliser le pays.
Depuis, le Vietnam et le Cambodge ont normalisé leurs relations diplomatiques et économiques, bien qu’il subsiste des tensions liées à des questions de souveraineté et d’identité culturelle, notamment dans les régions frontalières.
Relations contemporaines et coopération économique
Aujourd’hui, le Vietnam et le Cambodge entretiennent des relations économiques étroites, avec des projets de coopération dans le secteur des infrastructures, du commerce, et du tourisme. Ils sont également membres de l’ASEAN, une organisation qui favorise la coopération entre les pays d’Asie du Sud-Est.
Cependant, des tensions restent parfois visibles, notamment concernant les frontières, la gestion des ressources naturelles (comme le Mékong) et les perceptions historiques de domination.
En résumé, le Vietnam et Cambodge ont une histoire marquée par des échanges culturels anciens, une colonisation commune sous les Français, et des périodes de conflits et d’alliances, notamment durant la guerre froide. Aujourd’hui, malgré quelques différends historiques, ils collaborent dans plusieurs domaines pour assurer une stabilité régionale.
Points communs culturels entre le Vietnam et Cambodge
Le Vietnam et le Cambodge partagent de nombreux points communs culturels, influencés par leur proximité géographique, leur histoire et les échanges entre les différentes civilisations d’Asie du Sud-Est. Voici quelques aspects culturels notables qu’ils ont en commun :
Influences du Bouddhisme
Le bouddhisme est la religion dominante dans les deux pays, bien que pratiqué sous des formes légèrement différentes : le Cambodge suit le bouddhisme theravāda, tandis que le Vietnam suit principalement le bouddhisme mahāyāna (bien qu’il y ait une minorité theravāda dans le sud du Vietnam, en particulier parmi la communauté khmère).
Les temples bouddhistes, les cérémonies religieuses et les festivals bouddhistes sont très présents dans les deux cultures, et le bouddhisme influence également les valeurs sociales et familiales dans les deux sociétés.
Célébrations et festivités communes
Le Nouvel An Khmer au Cambodge (Chaul Chnam Thmey) et le Nouvel An Lunaire au Vietnam (Têt) sont deux célébrations marquantes qui suivent le calendrier lunaire et célèbrent la famille, les ancêtres et les bonnes récoltes. Bien qu’ils diffèrent dans leur date exacte et leurs traditions, ces festivals reflètent une importance commune donnée aux traditions agricoles et à l’harmonie familiale.
Les deux pays célèbrent également le festival de l’eau (Bon Om Touk au Cambodge et Loi Krathong au Vietnam) en l’honneur du Mékong, la principale source d’eau pour les cultures, qui occupe une place centrale dans la vie quotidienne.
Importance du Mékong et des traditions fluviales
Le fleuve Mékong traverse les deux pays et constitue une source vitale de ressources alimentaires, d’irrigation et de transport. Le mode de vie autour du Mékong a façonné des pratiques culturelles et économiques similaires : agriculture du riz, pêche, marchés flottants, et festivals d’eau.
Les deux peuples du Vietnam et Cambodge ont des coutumes et des rituels en lien avec le fleuve, notamment pour célébrer la fertilité et rendre hommage aux esprits de l’eau.
Cuisine partagée et influences culinaires
La cuisine cambodgienne et la cuisine vietnamienne partagent des ingrédients et des techniques de base, influencées par le climat tropical et la proximité géographique. Les deux cuisines utilisent du riz, du poisson, des herbes fraîches, des légumes, des sauces fermentées (comme la sauce de poisson nuoc mam), ainsi que des soupes et des bouillons en tant que plats de base.
Certains plats cambodgiens, comme l’amok (un plat de poisson cuit à la vapeur dans une feuille de bananier) et le bánh xèo vietnamien (crêpe de riz farcie), ont des équivalents similaires en termes d’ingrédients et de préparation.
Artisanat et architecture
Les deux pays possèdent une riche tradition d’artisanat, notamment la sculpture sur pierre, la poterie, le tissage de la soie, et la sculpture sur bois. La sculpture sur pierre du Cambodge (comme dans les temples d’Angkor) a influencé l’art religieux au Vietnam, notamment dans certaines pagodes et sculptures bouddhistes.
L’architecture de leurs temples et pagodes est influencée par l’architecture indienne et chinoise. Au Cambodge, l’architecture des temples khmers a inspiré de nombreux styles, tandis que les pagodes vietnamiennes présentent un mélange de styles khmer et chinois, particulièrement dans le sud.
Valeurs familiales et de communauté
Au Vietnam comme au Cambodge, la famille joue un rôle central dans la vie sociale et culturelle. Les deux cultures valorisent profondément le respect des aînés, la solidarité entre les membres de la famille, et la responsabilité familiale.
Les mariages, les funérailles, et autres rites de passage sont accompagnés de rituels et de cérémonies communautaires, souvent influencés par des croyances bouddhistes ou animistes, renforçant les liens sociaux et l’importance de la communauté.
Système de croyances et pratiques animistes
Avant l’arrivée du bouddhisme, les deux régions étaient marquées par des croyances animistes et polythéistes, des pratiques toujours présentes dans la culture populaire. La croyance aux esprits, aux génies des rivières, et aux ancêtres est courante.
Les habitants des deux pays continuent d’accomplir des rituels pour apaiser les esprits locaux, par exemple en laissant des offrandes sur des autels dans les maisons, les pagodes ou en plein air.
Échanges et influences linguistiques
Bien que le vietnamien et le khmer soient des langues distinctes, il existe une influence réciproque dans certains dialectes, surtout dans les régions frontalières du sud du Vietnam. Les minorités khmères vivant au Vietnam parlent khmer et transmettent des traditions, tandis que certains Vietnamiens dans ces régions peuvent également comprendre des mots khmers.
Le Cambodge et le Vietnam partagent aussi des termes et expressions venus du sanskrit et du pali, héritages de l’influence indienne sur la région.
Influence Coloniale Française
Les villes vietnamienne et cambodgienne présentent des quartiers avec des bâtiments coloniaux français, témoignant de l’influence administrative et culturelle de la France.
En outre, l’introduction de baguettes, de cafés et d’autres éléments culinaires français est visible dans les deux pays. De plus, le français a été une langue de prestige et d’administration durant la période coloniale.
En somme, ces points communs culturels témoignent de liens historiques forts entre le Vietnam et le Cambodge, malgré leurs différences. La proximité géographique et les échanges historiques ont favorisé des similitudes, surtout autour des valeurs familiales, de la religion et des traditions fluviales.
Itinéraire pour visiter le Vietnam et Cambodge
Notre circuit De la Baie d’Halong à Siem Reap avec le rythme modéré vous offre un panorama complet des merveilles du Vietnam et du Cambodge, avec une découverte riche et immersive de sites classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, de paysages naturels emblématiques, et de la culture locale.
Voici les raisons pour lesquelles il faut choisir ce circuit:
Découverte des incontournables culturels et historiques
- Hanoï : La capitale vietnamienne vous accueille avec son mélange unique de traditions millénaires et de modernité, de temples anciens, de marchés animés, et de quartiers historiques empreints de charme.
- Hue : Ancienne capitale impériale, Hue vous plonge dans l’histoire vietnamienne à travers ses tombeaux royaux, la Cité impériale et ses monuments classés par l’UNESCO.
- Hoi An : Ville portuaire historique, Hoi An est réputée pour ses maisons de style colonial, ses lanternes colorées, et son atmosphère unique. Cette ville est un carrefour des influences culturelles vietnamiennes, chinoises et japonaises.
- Siem Reap : Ces sites majestueux du Cambodge, temples mythiques d’Angkor, témoignent de la grandeur de l’empire khmer. Angkor Wat, le plus grand monument religieux au monde, et Angkor Thom, avec le temple du Bayon et ses visages sculptés, sont des étapes inoubliables pour explorer l’histoire et l’art khmers.
Expériences uniques dans la nature
- Baie d’Halong : Une croisière à bord d’une jonque de charme dans la mythique baie d’Halong vous offre l’occasion de naviguer entre les pitons rocheux et les îles spectaculaires. Avec une nuit à bord, profitez du coucher et du lever de soleil dans ce cadre inoubliable, un moment privilégié en pleine nature.
- Delta du Mékong : À Vinh Long et Can Tho, vous plongerez dans la vie quotidienne des habitants du delta du Mékong, région où rivières et vergers luxuriants se mêlent. Les marchés flottants sont un spectacle de couleurs et de saveurs qui vous permet de découvrir la culture locale de manière authentique.
- Tonlé Sap : Le plus grand lac d’eau douce d’Asie du Sud-Est, situé au Cambodge, permet d’observer les villages flottants et la vie aquatique riche qui l’entoure, offrant un aperçu unique des modes de vie traditionnels cambodgiens.
Immersion culturelle et rencontres locales
- Ce circuit vous invite à découvrir la culture vietnamienne et cambodgienne en rencontrant les artisans, les habitants des villages, et en participant à des activités locales comme la préparation de plats typiques, la visite des marchés, et des balades en vélo ou en bateau au cœur de la nature.
- Vous traversez des régions rurales où le tourisme est peu développé, favorisant des expériences plus authentiques et des interactions plus proches avec la population locale, qui partage volontiers son savoir-faire et ses traditions.
Diversité des paysages
Le circuit offre une diversité de paysages impressionnante : des rizières et des montagnes de Tam Coc aux plages et lagons de Da Nang, en passant par la beauté époustouflante de la baie d’Halong, le delta du Mékong verdoyant, et les forêts tropicales qui entourent les temples d’Angkor. Chaque étape offre un décor unique, mettant en lumière la richesse naturelle de la région.
Un rythme adapté et agréable
Le rythme modéré du circuit vous permet de profiter pleinement de chaque étape sans précipitation, avec des pauses dans les villes clés et des activités variées qui équilibrent détente, découverte et immersion. Cela offre une expérience de voyage plus agréable et plus profonde, idéale pour explorer ces sites chargés d’histoire et de beauté naturelle.
Ce voyage propose un itinéraire harmonieux entre nature, culture, et rencontres, en vous emmenant à la découverte des plus grands trésors du Vietnam et du Cambodge. Du nord au sud, il vous plonge dans des panoramas exceptionnels, de la célèbre baie d’Halong jusqu’au delta du Mékong, avant de se terminer en apothéose sur le site majestueux d’Angkor.
Si vous avez des questions ou souhaitez parcourir le Vietnam et Cambodge sans vol en personnalisant notre circuit, veuillez contacter nos conseillères en voyage. Acacia Voyage est toujours à votre écoute et reste à votre entière disposition.